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IUM : VOS SOINS OLIGO-COSMETIQUES BIO

Nutrition & peau : comprendre leur lien pour une beauté durable

Jeune femme dégustant une salade équilibrée, illustrant le lien entre alimentation saine et beauté naturelle de la peau soutenue par les soins bio aux oligo-éléments IUM Paris.

Il suffit d’observer la peau après une nuit trop courte, une semaine trop salée ou un mois un peu trop sucré pour comprendre à quel point elle réagit à notre hygiène de vie. La peau ne ment pas. Elle absorbe, filtre, s’équilibre ou s’enflamme selon ce qu’on lui offre, et elle reflète en surface ce qui se joue en profondeur. Les rides s’accentuent plus vite sur une peau déshydratée, les imperfections reviennent avec les déséquilibres digestifs, le teint se brouille si les antioxydants manquent à l’appel. Ce que l’on met dans notre assiette parle à notre épiderme comme une langue intime. Et cette conversation est plus subtile qu’il n’y paraît.

Longtemps reléguée au second plan dans les discussions beauté, la nutrition s’impose désormais comme un pilier essentiel de la santé cutanée. On ne parle plus seulement d’actifs appliqués à la surface de la peau, mais de ce qu’elle reçoit en amont, via le sang, le microbiote, le système hormonal. Les femmes le savent intuitivement : lorsqu’elles mangent mieux, leur peau se transforme. Elle devient plus lisse, plus lumineuse, plus équilibrée. Et pourtant, l’idée d’une "belle peau" n’est pas une simple conséquence d’un régime parfait ou d’une cure detox passagère. C’est un dialogue constant entre intérieur et extérieur, entre nutriments et cosmétiques, entre saisons et rituels.

À l’orée du printemps, alors que la nature redémarre, que les corps s’allègent, que la lumière revient, la peau exprime des besoins différents. Elle cherche à se régénérer après l’hiver, à retrouver de l’éclat, à s’adapter aux premières expositions solaires, au changement d’air, de rythme, de température. Ce moment de transition est propice pour repenser la beauté sous l’angle de la globalité : ce que l’on applique, mais aussi ce que l’on digère, ce que l’on assimile, ce que l’on équilibre.

Dans les paragraphes qui suivent, nous explorerons la manière dont l’alimentation influence concrètement la qualité de la peau, comment certains micronutriments agissent en synergie avec des soins ciblés, et pourquoi une approche holistique devient la clé d’une beauté qui dure. Sans dogme, ni recettes miracles, mais avec la certitude que notre peau, tout comme notre organisme, mérite d’être nourrie avec intention.

LES BASES SILENCIEUSES DE L’ÉCLAT : UNE PEAU NOURRIE DE L’INTÉRIEUR

Il y a dans l’éclat d’un teint quelque chose d’indicible. Une lumière douce, diffuse, qui semble venir de l’intérieur. Pourtant, ce phénomène que l’on croit presque magique repose sur une réalité biologique simple : la qualité de la peau dépend directement de ce qu’elle reçoit comme nutriments via la circulation sanguine. À chaque bouchée, chaque gorgée, des milliards de réactions métaboliques se mettent en marche, influençant la production de collagène, la régénération cellulaire, l’hydratation ou encore la résistance cutanée aux agressions extérieures.

Certains nutriments sont de véritables alliés pour la peau, parce qu’ils agissent à la fois comme bâtisseurs et protecteurs. C’est le cas des acides gras essentiels – oméga-3 et oméga-6 –, indispensables au maintien de la barrière cutanée. Ils renforcent le ciment intercellulaire, réduisent la perte en eau et calment les inflammations silencieuses, souvent à l’origine de rougeurs ou de sensibilités accrues. On les trouve dans les poissons gras, les huiles de colza, de lin ou de noix, mais aussi dans les graines et certains fruits secs.

Autre pilier fondamental : les antioxydants. La vitamine C, le bêta-carotène, le sélénium ou encore la vitamine E neutralisent les radicaux libres produits par le stress, la pollution, l’exposition au soleil ou une alimentation déséquilibrée. En neutralisant ces oxydants, ils ralentissent le vieillissement prématuré de la peau, préservent son éclat naturel et soutiennent la fabrication du collagène. Une poignée de myrtilles, un avocat bien mûr, une salade de roquette ou un jus de carotte fraîche deviennent alors des soins à part entière.

Mais ce que l’on oublie souvent, c’est le rôle discret mais essentiel des minéraux. Le zinc, par exemple, est connu pour ses propriétés cicatrisantes et purifiantes ; il aide à réguler le sébum et limite l’apparition des imperfections. Le magnésium, de son côté, participe à la bonne oxygénation des cellules et aide la peau à mieux résister aux facteurs de stress environnementaux. Le cuivre, le sélénium ou encore le potassium complètent cette symphonie minérale qui agit en profondeur sur la qualité de la peau.

L’équilibre est ici le maître-mot. Une carence légère mais chronique en un seul de ces micronutriments suffit à déstabiliser l’ensemble du système cutané. Une peau qui tiraille, un teint éteint, une cicatrisation ralentie : autant de signaux que l’organisme adresse, souvent sans bruit, mais avec insistance. Et si le miroir de notre salle de bain ne ment pas, notre assiette non plus.

Alors que les beaux jours arrivent, il devient d’autant plus pertinent de revisiter nos habitudes alimentaires à l’aune de ce que réclame notre peau. Pas pour suivre un énième diktat healthy ou une tendance passagère, mais parce que l’éclat véritable se construit dans la constance des gestes simples, au croisement de la nutrition bienveillante et du soin intelligent.

QUAND NUTRITION ET SOIN CUTANÉ SE RENCONTRENT : LA BEAUTÉ EN DOUBLE ACTION

Le corps humain fonctionne selon une logique d’interactions. Tout communique, tout circule, tout s’influence. Et la peau, loin d’être une barrière passive, est un organe à part entière, réceptif et perméable à ce que l’on respire, ce que l’on ressent, ce que l’on mange… mais aussi à ce que l’on applique. C’est dans cette articulation entre l’intérieur et l’extérieur que naît une approche cosmétique moderne : la beauté en double action. Une peau bien nourrie de l’intérieur reçoit mieux les actifs appliqués en surface. Et, inversement, des soins topiques bien formulés peuvent prolonger les bienfaits d’une nutrition équilibrée.

C’est précisément cette synergie que les oligo-éléments rendent possible. Parce qu’ils sont déjà reconnus par notre organisme — présents dans notre alimentation, nos cellules, notre métabolisme — leur application cutanée devient un prolongement naturel de leur rôle biologique. La peau ne les perçoit pas comme des corps étrangers, mais comme des alliés familiers. Et c’est là que la science rejoint l’intelligence du vivant.

Le potassium, par exemple, joue un rôle essentiel dans l’hydratation intracellulaire. Il régule les échanges osmotiques, aide à maintenir l’eau dans les cellules, participe à l’élasticité des tissus. Dans le Sérum Repulpant, il est associé au sodium, un autre acteur de l’équilibre hydrique, pour offrir une action reminéralisante et repulpante. Cette combinaison résonne directement avec une alimentation riche en fruits et légumes de saison — fraises, concombres, melons, jeunes pousses — qui apportent à la fois de l’eau, des minéraux et des antioxydants légers. En renforçant la cohésion cellulaire de l’intérieur et de l’extérieur, on obtient une peau mieux hydratée, plus dense, visiblement plus lisse.

Autre exemple, le magnésium. Ce minéral, souvent surnommé "le minéral anti-stress", est indispensable à plus de 300 réactions enzymatiques dans l’organisme. Sur la peau, il aide à lutter contre les effets de l’inflammation, améliore la tolérance cutanée et renforce la barrière de défense naturelle. On le retrouve dans la Crème Jeunesse Redensifiante, formulée pour préserver l’équilibre de la peau au quotidien. En l’associant au sodium, là encore, la formule épouse les besoins d’une peau soumise aux agressions extérieures — UV, pollution, stress oxydatif — tout en travaillant en profondeur sur sa densité et sa lumière.

Ces soins, nourris par la science des oligo-éléments, ne remplacent pas une bonne alimentation, mais ils la prolongent, l’amplifient, parfois même la corrigent. Car toutes les peaux ne reçoivent pas les nutriments de manière homogène. Certaines ont besoin d’un soutien ciblé, d’un geste complémentaire, d’un soin qui parle le même langage que ce qu’on choisit dans son assiette. C’est cette logique d’écho et de continuité qui rend la cosmétique intelligente : quand elle ne cherche pas à compenser, mais à accompagner.

Et si la frontière entre soin et nutrition devient de plus en plus poreuse, ce n’est pas une mode, mais une évidence. La peau réclame des gestes alignés, une cohérence entre ce qu’on lui offre par la bouche et par les doigts. Entre le plaisir de manger et celui de se masser. Entre un smoothie minéral du matin et une texture fine et réconfortante le soir. C’est ainsi que la beauté devient un rituel, un lien sensoriel entre soi et soi.

LES ENNEMIS INVISIBLES DE L’ÉCLAT : EXCÈS, CARENCES, INFLAMMATION SILENCIEUSE

Il n’est pas toujours nécessaire de mal manger pour que la peau se brouille. Parfois, il suffit d’un petit déséquilibre répété, d’une habitude anodine mais constante, pour que le teint perde sa fraîcheur. L’éclat ne disparaît pas d’un coup : il s’efface peu à peu, étouffé par les excès, les carences, et surtout cette inflammation discrète mais chronique qui s’installe dans l’organisme comme une brume de fond. Une peau qui s’enflamme en silence finit par marquer, par réagir, par fatiguer.

Le sucre est sans doute l’un des perturbateurs les plus sournois. Non seulement il altère l’équilibre de la flore intestinale — ce microbiote si essentiel à la santé de la peau — mais il participe aussi à un phénomène bien connu : la glycation. Ce processus accélère le vieillissement cutané en rigidifiant les fibres de collagène, rendant la peau moins ferme, moins souple, plus terne. Il favorise également l’inflammation des tissus, pouvant aggraver l’acné, la rosacée ou les rougeurs diffuses.

L’alcool, consommé régulièrement, agit de façon similaire : il déshydrate, dilate les capillaires, déséquilibre le foie — organe clé de l’élimination — et laisse souvent la peau congestionnée, avec des poches, des cernes ou un teint congestionné. Même les peaux jeunes peuvent devenir instables si les mécanismes d’élimination internes sont dépassés. Et à l’inverse, certaines carences minérales ou vitaminiques peuvent s’installer silencieusement, sans signe évident immédiat, mais fragiliser l’épiderme en profondeur.

C’est souvent le cas du zinc, dont le déficit modéré est très courant chez les femmes, notamment en période de stress ou de déséquilibre hormonal. Une peau qui cicatrise mal, des boutons qui persistent, un grain de peau irrégulier : autant de signes que le système de régulation naturel de la peau est affaibli. Le zinc est pourtant un minéral essentiel au renouvellement cellulaire, à la régulation du sébum et à la lutte contre les bactéries pathogènes.

Dans ce contexte, certains gestes cosmétiques peuvent agir comme des réponses intelligentes. La Gelée Oligo Nettoyante, enrichie en zinc et sodium, nettoie sans agresser, purifie sans déséquilibrer. Elle accompagne les peaux fatiguées, fragilisées par un environnement inflammatoire — alimentaire, urbain ou émotionnel — en leur apportant un effet purifiant doux mais efficace. Son action ne se limite pas au nettoyage : elle apaise, rééquilibre, prépare la peau à mieux recevoir ce qui suit.

On sait aujourd’hui que les inflammations cutanées sont souvent le reflet de micro-inflammations intestinales ou hormonales. C’est un dialogue subtil entre les organes, une conversation muette entre le foie, la flore, la peau et le système nerveux. Dans cette équation, chaque excès compte. Mais chaque ajustement aussi.

La bonne nouvelle, c’est que la peau possède une formidable capacité de régénération dès qu’on lui offre les conditions adéquates. Il ne s’agit pas de viser la perfection alimentaire, mais la cohérence. Et surtout, de comprendre que chaque geste beauté — qu’il passe par une infusion drainante, un bain de vapeur aux plantes, une crème reminéralisante ou un repas riche en micronutriments — contribue à créer un terrain favorable à l’éclat naturel.

LA SAISON DU RENOUVEAU : QUE MANGER (ET APPLIQUER) QUAND LE PRINTEMPS REVIENT

Il y a dans l’air du printemps une énergie nouvelle, presque imperceptible mais bien réelle. La lumière devient plus claire, les gestes se font plus légers, l’envie d’épurer nos routines, nos assiettes, nos rituels refait surface. La peau, elle aussi, ressent ce basculement. Après les mois froids où elle s’est épaissie, ralentie, parfois asphyxiée par des soins trop riches ou une alimentation plus dense, elle aspire au renouveau.

À cette période de l’année, les besoins cutanés changent subtilement. Le teint réclame de la lumière, les cellules une nouvelle dynamique, les tissus un regain d’hydratation. C’est le moment idéal pour réajuster son alimentation — non pas dans une logique de privation, mais de respiration. Introduire des aliments vivants, riches en enzymes, en eau, en micronutriments frais, devient un geste de soin à part entière.

Les premiers légumes de printemps — asperges, artichauts, petits pois, épinards — apportent une richesse en fibres, en chlorophylle et en minéraux qui soutiennent le foie et favorisent l’élimination des toxines. Les herbes fraîches, souvent négligées, sont de véritables concentrés d’actifs : coriandre, persil, menthe, basilic... Une simple poignée peut suffire à dynamiser un plat et stimuler la digestion, améliorant par ricochet la clarté de la peau.

Côté fruits, les fraises, les agrumes, les kiwis regorgent de vitamine C — essentielle à la synthèse du collagène — mais aussi de flavonoïdes aux effets protecteurs. Boire plus d’eau, infuser des tiges de romarin, miser sur les bouillons végétaux ou les jus verts maison, tout concourt à relancer la circulation et à oxygéner la peau de l’intérieur.

Et ce mouvement intérieur peut — et doit — être prolongé par des gestes cosmétiques alignés. Oublier les textures trop occlusives, alléger les soins du soir, privilégier les formules qui apportent de l’hydratation, de la lumière, de l’équilibre. C’est précisément dans cet esprit que les soins IUM s’inscrivent : des textures fines mais actives, des compositions riches en oligo-éléments qui accompagnent la peau dans ses transitions.

Au printemps, on peut imaginer un rituel qui mêle, par exemple, la Gelée Oligo Nettoyante, pour purifier sans décaper, suivie du Sérum Repulpant, dont l’action hydratante et revitalisante vient réveiller les tissus assoupis par l’hiver. Rien d’agressif, rien de surdosé. Juste ce qu’il faut de stimulation douce, de reminéralisation intelligente, de fraîcheur équilibrée.

Ce que l’on mange et ce que l’on applique peuvent se répondre dans une logique sensorielle. Croquer dans un radis croquant, se masser le visage avec une huile infusée aux extraits végétaux, respirer l’odeur verte d’un soin bien formulé... Ce sont autant de petits actes qui participent à une beauté réconciliée avec le vivant.

Le printemps est aussi une saison de prévention. L’exposition au soleil, plus fréquente, accentue le stress oxydatif. C’est le moment de renforcer sa routine avec des actifs antioxydants — à la fois dans l’assiette (vitamine C, polyphénols, zinc) et dans les soins (extraits de plantes, minéraux protecteurs, hydratation renforcée). Offrir à la peau un terrain fertile pour se défendre, se réparer et rayonner, c’est déjà lui donner une longueur d’avance sur l’été.

NOURRIR LA PEAU, UN GESTE HOLISTIQUE

Crème Jeunesse Redensifiante IUM Paris, pot bleu, hydratante, repulpante et illuminante, lauréate du Beauty Shortlist Awards 2024, produit cosmétique bio naturel à 99%.

Il y a quelques années encore, le lien entre nutrition et beauté semblait réservé à un cercle confidentiel de naturopathes ou de passionnées de médecine intégrative. Aujourd’hui, il devient une évidence pour toutes celles qui observent leur peau avec lucidité. L’éclat, la texture, la fermeté, la capacité de la peau à résister ou à s’apaiser : tout cela dépend d’un équilibre fin, fragile, mais accessible, entre ce que l’on ingère et ce que l’on applique.

Nourrir sa peau, ce n’est pas lui faire la guerre, c’est l’écouter. C’est prendre en compte ses besoins spécifiques selon les saisons, les rythmes hormonaux, les transitions de vie, les émotions traversées. C’est cesser d’opposer soin et alimentation, comme si l’un devait compenser l’autre, mais comprendre que les deux participent d’un même mouvement : celui d’une beauté vivante, en dialogue constant avec notre environnement.

Ce que l’on applique sur la peau ne remplace pas une carence alimentaire. Mais un soin bien formulé, intelligent, respectueux de la physiologie cutanée, peut amplifier les bénéfices d’une alimentation juste. Il peut apaiser une inflammation passagère, renforcer une barrière affaiblie, lisser les traces d’un stress ou prolonger l’éclat obtenu par une assiette colorée. Les oligo-éléments, en cela, sont des passeurs : ils relient l’intérieur à l’extérieur, les tissus à la nutrition, le soin à la biologie.

Et c’est peut-être cela, la nouvelle définition du luxe : ne plus dissocier le soin de soi du soin de la peau. Comprendre que prendre le temps de choisir ses légumes est aussi un geste de beauté. Que boire de l’eau infusée au gingembre ou au thym citron, c’est hydrater ses cellules autant que son esprit. Que se masser doucement le visage avec un soin riche en minéraux, c’est activer bien plus qu’un effet cosmétique : c’est renouer avec une forme de présence à soi.

La peau ne cherche pas la perfection. Elle cherche l’attention. Et plus encore : la cohérence. Une cohérence douce, bienveillante, durable. Une beauté qui ne s’impose pas, mais qui se révèle, lentement, dans l’alignement des petits gestes.


LE SAVIEZ-VOUS ?

La peau est le troisième organe le plus gourmand en nutriments après le cœur et le foie. Pourtant, en cas de carence ou de déséquilibre alimentaire, elle est la dernière servie. C’est pourquoi les premiers signes visibles d’un déficit — teint terne, sécheresse, perte de fermeté — apparaissent souvent sur le visage. La peau parle pour le reste du corps, parfois avant même que l’on en prenne conscience.

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