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IUM : VOS SOINS OLIGO-COSMETIQUES BIO

PROTÉGER SA PEAU EN ÉTÉ : AU-DELÀ DE LA CRÈME SOLAIRE

Femme rousse à la peau lumineuse se protégeant du soleil, préparée grâce à une routine visage bio naturelle aux oligo-éléments.

L’été est cette parenthèse lumineuse où la peau semble s’éveiller à une forme nouvelle de sensualité. Moins couverte, plus exposée, elle capte la lumière, respire autrement, et semble rayonner d’un éclat que seule la chaleur estivale sait révéler. Mais derrière cet éclat doré se cache une réalité plus complexe : celle d’une peau en constante adaptation, parfois en déséquilibre, souvent en état d’alerte.

La majorité des discours autour de la protection estivale se cristallise autour de la crème solaire. Elle est devenue un réflexe, presque un totem de bonne conduite cutanée. Et c’est heureux. Car il ne s’agit pas de remettre en cause sa nécessité — les filtres solaires sont des alliés précieux, voire vitaux, pour préserver le capital santé et jeunesse de la peau. Mais limiter la protection estivale à cet unique geste, aussi essentiel soit-il, revient à négliger toute une partie du dialogue entre la peau et son environnement.

Sous les rayons du soleil, la peau ne se contente pas de bronzer ou de rougir. Elle s’active, réagit, se défend, s’épuise parfois. L’air chargé d’ozone, la lumière bleue des écrans même en vacances, la climatisation, les bains répétés, les excès alimentaires ou le manque de sommeil viennent accentuer son stress. Résultat : une peau qui tiraille malgré l’humidité ambiante, un teint brouillé malgré les vacances, des imperfections qui surgissent là où on ne les attendait pas, des rides qui semblent plus marquées au retour qu’au départ.

Protéger sa peau en été, c’est donc l’aborder dans sa globalité : sa barrière, bien sûr, mais aussi son microbiome, son niveau d’hydratation, ses capacités de défense antioxydante et de régénération. C’est apprendre à lui donner les bons gestes, les bons nutriments, les bonnes textures. C’est aussi repenser notre rapport aux soins estivaux : non pas comme un simple supplément à la crème solaire, mais comme un rituel à part entière, respectueux de la peau et de ses rythmes.

Dans cet article, nous allons explorer ces gestes oubliés ou méconnus, ces actifs souvent sous-estimés et pourtant essentiels en période estivale, et cette nouvelle manière de prendre soin de sa peau quand le thermomètre grimpe. Avec l’idée que, pour véritablement la protéger, il ne suffit pas de la couvrir : il faut aussi l’écouter, la renforcer, l’apaiser — et l’aimer.

SÉCURITÉ : QUAND LA CRÈME SOLAIRE NE SUFFIT PAS

L’ombre d’un parasol, l’application minutieuse d’un SPF 50, la promesse d’un bouclier invisible entre le soleil et notre peau. Nous avons appris à associer protection et crème solaire, à tel point que ce réflexe est devenu un automatisme. Mais si le geste est juste, il donne parfois naissance à une illusion : celle d’une sécurité totale, comme si la simple présence d’un filtre suffisait à préserver la peau de toutes les agressions estivales.

Or, en réalité, la peau subit en été un stress multifactoriel qui dépasse largement les UV. Certes, les rayons ultraviolets restent les premiers responsables du photovieillissement, des coups de soleil, et des altérations profondes du derme. Mais ils ne sont pas les seuls acteurs à entrer en scène pendant cette saison où le climat, l’hygiène de vie, et l’environnement se conjuguent pour mettre la peau à rude épreuve.

Le sel marin, le sable, le vent, la transpiration excessive, la climatisation omniprésente ou encore les douches à répétition ont un impact bien réel. Ces facteurs altèrent la barrière hydrolipidique, ce film invisible mais essentiel qui maintient l’hydratation, protège des bactéries et limite les inflammations. Résultat : une peau plus vulnérable, sujette à la déshydratation, aux rougeurs, aux tiraillements, et parfois même aux irritations chroniques.

À cela s’ajoute la lumière visible — notamment la lumière bleue — qui, elle aussi, participe au vieillissement cutané par l’activation de radicaux libres. Même en terrasse ou en télétravail sous une véranda, notre peau continue de recevoir des stimuli oxydatifs que la crème solaire ne bloque pas nécessairement, à moins qu’elle ne contienne des filtres spécifiques.

Le risque, c’est de confondre filtrer et protéger. Car protéger implique plus qu’un écran. Cela suppose d’accompagner la peau dans sa capacité à se défendre et à se réparer. Cela demande une approche plus holistique, qui intègre la nutrition cutanée, l’hydratation, la régénération cellulaire et le respect de son microbiome.

Ainsi, la crème solaire ne peut plus être pensée comme un produit isolé, mais comme une brique complémentaire dans un rituel global de protection. Un rituel dans lequel chaque geste compte, depuis le nettoyage doux du matin jusqu’au soin réparateur du soir. Un rituel qui commence par écouter les signaux que la peau nous envoie, même lorsqu'ils sont silencieux.

L’ÉTÉ, SAISON DES AGRESSIONS INVISIBLES : CHALEUR, LUMIÈRE, STRESS OXYDATIF

Il y a dans l’été une forme d’évidence : tout y est plus intense. La lumière, la chaleur, le rythme des journées, les émotions. Et la peau, elle aussi, vit cette intensité. Mais ce qu’elle ressent, elle ne le dit pas toujours. Elle envoie des signaux discrets, presque silencieux, traduisant un déséquilibre plus profond qu’il n’y paraît.

La chaleur, d’abord, modifie la microcirculation cutanée. Elle dilate les vaisseaux, intensifie la transpiration, accélère l’évaporation de l’eau contenue dans les tissus. La peau se déshydrate plus rapidement, même si elle semble moite. Le paradoxe est fréquent : une peau grasse en surface, mais en souffrance dans ses couches profondes. Cette déshydratation dite « insensible » altère la souplesse du derme, fragilise la barrière protectrice et accentue les rides d’expression.

Puis vient la lumière. On évoque beaucoup les UV, mais moins la lumière visible — notamment la lumière bleue, omniprésente dans nos vies, même en vacances. Elle pénètre profondément dans la peau, favorise l’inflammation et stimule la production de radicaux libres. Ces radicaux, instables et agressifs, attaquent les membranes cellulaires, dégradent le collagène, l’élastine et l’ADN. À terme, le teint devient terne, la peau perd en fermeté, des taches pigmentaires apparaissent.

La pollution estivale — souvent plus élevée dans les zones urbaines ou touristiques — s’ajoute à ces facteurs. Mélangée à l’humidité et aux rayons UV, elle génère une cascade de réactions oxydatives. On parle aujourd’hui de photo-pollution, ce phénomène qui associe soleil et pollution pour aggraver les déséquilibres cutanés. Le sébum s’oxyde plus rapidement, les pores se bouchent, et l’inflammation devient chronique.

À tout cela s’ajoute un rythme de vie différent. On dort moins, on mange plus sucré ou plus gras, on boit parfois plus d’alcool, et l’on se couche plus tard. Des choix qui influencent l’état de la peau. Le manque de sommeil ralentit la régénération cellulaire nocturne. L’excès de sucre favorise la glycation des fibres de collagène, un mécanisme silencieux mais destructeur pour la fermeté et l’élasticité.

Ainsi, l’été agit comme une loupe. Il amplifie les fragilités, rend visibles les déséquilibres, et met au défi notre capacité à maintenir l’harmonie de notre peau. Protéger devient alors un acte quotidien de rééquilibrage. Ce n’est plus seulement une question de barrière anti-UV, mais de soutien global, intérieur comme extérieur. Une cosmétique d’accompagnement, qui respecte les rythmes, anticipe les besoins, et restaure l’intelligence naturelle de la peau.

LES RÉFLEXES CUTANÉS INTELLIGENTS : ANTICIPER, RENFORCER, RÉPARER

Il n’y a pas de bon soin sans bon moment. Et en été plus que jamais, la peau nous rappelle cette vérité : elle n’a pas les mêmes besoins le matin, l’après-midi ou le soir. Elle vit au rythme du soleil, mais aussi au rythme de nos gestes. C’est pourquoi la protection cutanée efficace ne repose pas uniquement sur un produit ou un actif isolé. Elle réside dans l’intelligence d’un rituel, dans la finesse d’une routine pensée pour accompagner la peau dans ses fluctuations naturelles.

Protéger sa peau en été, c’est d’abord anticiper les agressions, et non simplement y répondre. Cela commence dès le matin, avant l’exposition. Un nettoyage doux, qui ne décape pas mais libère la peau de la sueur nocturne, de l’excès de sébum et des résidus de soins appliqués la veille. Ensuite, un soin hydratant renforcé, enrichi en antioxydants, en minéraux et en actifs protecteurs, va créer un environnement cutané favorable, avant même l’application du SPF.

Durant la journée, surtout dans les climats chauds ou humides, le film hydrolipidique est mis à rude épreuve. Transpiration, frottements, eau de mer ou de piscine… la peau perd de sa cohésion. Renforcer sa capacité de résistance devient alors essentiel. Les soins légers mais riches en actifs fonctionnels jouent ici un rôle clé : ils ne bouchent pas les pores, mais apportent à la peau ce qu’elle ne peut plus synthétiser seule. Oligo-éléments, extraits végétaux apaisants, acides aminés protecteurs : la cosmétique contemporaine apprend à accompagner plutôt qu’à surstimuler.

Enfin, le soir venu, c’est le temps de la réparation. Sous l’effet du stress thermique et oxydatif de la journée, la peau entre dans un état de vulnérabilité aiguë. C’est à ce moment-là qu’elle se régénère, mais aussi qu’elle a besoin d’aide. Une hydratation profonde, des actifs relipidants, des agents réparateurs et anti-inflammatoires permettent d’apaiser les échauffements invisibles, de prévenir les taches et de relancer les mécanismes nocturnes de réparation cellulaire.

Ce que l’on appelle aujourd’hui "skincare intelligent", c’est cette capacité à lire les signaux de la peau et à lui proposer des réponses ciblées, sans surcharge ni superposition excessive. Moins de gestes, mais des gestes justes. Moins de produits, mais des formules précises, pensées pour la biologie de la peau, et non seulement pour sa surface.

Les soins qui respectent ce tempo naturel s’inscrivent dans une nouvelle approche cosmétique : préventive, fonctionnelle, bioactive. On ne cherche plus à surprotéger à tout prix, mais à restaurer la capacité innée de la peau à se défendre, s’adapter, se régénérer. Une philosophie d’équilibre plus que de lutte. Une protection consciente, bienveillante, durable.

L’ÉCLAT DU MAGNÉSIUM, LA SOUPLESSE DU SODIUM, L’ÉQUILIBRE RETROUVÉ

Quand la peau est soumise à un stress permanent, même léger, elle finit par s’épuiser. Et ce phénomène est particulièrement vrai en été. L’agression n’est pas toujours visible : ce n’est pas nécessairement un coup de soleil, ni même une irritation franche. C’est souvent un inconfort diffus, un teint qui perd sa lumière, une peau qui semble plus fine, moins tonique, comme si ses ressources internes s’étaient dissipées.

Dans ces moments-là, certains actifs ont le pouvoir de relancer la mécanique cutanée de manière subtile, sans brusquer. C’est le cas du magnésium, oligo-élément souvent sous-estimé en cosmétique, alors même qu’il joue un rôle fondamental dans le métabolisme cellulaire. Protecteur naturel face au stress oxydatif, il aide la peau à maintenir son équilibre énergétique, calme les inflammations de bas grade et renforce la fonction barrière.

À ses côtés, le sodium — dans ses formes cosmétologiquement actives — agit comme un vecteur d’hydratation. Il participe à la régulation de l’eau dans les cellules, soutient les NMF (Natural Moisturizing Factors), et permet à la peau de conserver souplesse et confort, même en climat chaud et sec. Ces deux oligo-éléments, lorsqu’ils sont justement dosés et bien associés, rétablissent un terrain cutané apaisé, plus résilient face aux agressions.

C’est dans cette logique que s’inscrit la Crème Jeunesse Redensifiante, qui conjugue magnésium, sodium, et un ensemble d’actifs végétaux ciblés comme l’huile de pépins de raisin (riche en antioxydants), l’extrait de figue de Barbarie (apaisant et hydratant), ou encore le beurre de karité. Une formule pensée non pas comme un simple soin nourrissant, mais comme un soutien actif aux fonctions de défense et de régénération naturelles de la peau.

Appliquée le matin avant l’exposition ou le soir pour favoriser la réparation nocturne, cette crème agit comme une enveloppe de confort, sans jamais alourdir. Sa texture fondante mais non grasse respecte la logique estivale : hydrater profondément sans obstruer, redonner du rebond sans effet occlusif. Elle incarne cette nouvelle génération de soins fonctionnels, qui parlent le langage de la peau plutôt que celui des artifices.

Et au-delà de son efficacité visible — éclat ravivé, grain de peau affiné, sensation de confort immédiate —, elle joue aussi un rôle de fond : rééduquer la peau à mieux se défendre, à mieux se réparer. Car protéger en été, c’est aussi réapprendre à écouter ce que la peau réclame de plus subtil qu’un écran solaire. C’est lui offrir les moyens de maintenir son intégrité, sa souplesse, sa lumière, jour après jour, sans l’étouffer ni la stimuler à outrance.

NETTOYER SANS DÉCAPER : LE GESTE CLÉ SOUVENT OUBLIÉ

Le nettoyage est peut-être l’acte le plus sous-estimé de la routine estivale. Et pourtant, c’est celui qui donne le la à tout ce qui suit. En été, la peau vit au rythme du sébum, de la sueur, des filtres solaires appliqués en couches successives, de la poussière en suspension dans l’air et des impuretés liées à la transpiration. Elle est surchargée, parfois encombrée, mais paradoxalement plus fragile. Nettoyer devient alors un art d’équilibre : purifier sans irriter, alléger sans déséquilibrer.

Or, trop souvent, le réflexe est d’aller vers des nettoyants astringents, gommants, ou trop moussants — pensés pour « décaper » ce que l’on pense être de la saleté, mais qui n’est parfois qu’un film protecteur naturel. Le risque, en voulant trop bien faire, c’est d’éroder la barrière cutanée, d’affaiblir le microbiome, de rendre la peau plus vulnérable encore aux agressions estivales. Le cercle devient alors vicieux : plus on nettoie fort, plus la peau produit de sébum en réaction, plus elle s’enflamme, et plus le teint s’assombrit.

L’alternative ? Des textures douces, non moussantes ou faiblement, enrichies en actifs apaisants et rééquilibrants. C’est exactement dans cette philosophie que s’inscrit la Gelée Oligo Nettoyante, qui mêle la fraîcheur d’une gelée légère à la technicité d’une formule enrichie en zinc et sodium — deux oligo-éléments au rôle essentiel en période estivale.

Le zinc, reconnu pour ses propriétés purifiantes et séborégulatrices, agit ici comme un régulateur discret, permettant de nettoyer sans décaper, d’assainir sans agresser. Il calme les micro-inflammations, soutient la réparation de l’épiderme et freine l’oxydation du sébum. Le sodium, quant à lui, maintient l’hydratation dans les couches supérieures de l’épiderme, même après le rinçage, limitant la sensation de tiraillement ou d’inconfort que peuvent provoquer certaines eaux calcaires.

Le résultat ? Une peau nette, mais douce. Fraîche, mais apaisée. Idéale le matin pour préparer la peau à l’exposition, ou le soir pour la libérer des filtres solaires, de la pollution et de la sueur. La gelée nettoyante devient alors un soin à part entière, un geste fondamental dans une approche globale de protection estivale.

Nettoyer juste, c’est aussi respecter le rythme de la peau, qui en été peut passer d’une surproduction de sébum à une déshydratation latente en quelques heures. C’est comprendre que le nettoyage n’est pas un geste purement hygiénique, mais un moment de réinitialisation, où l’on choisit de ne pas tout enlever, mais seulement l’inutile. C’est faire le tri, sans violence, pour redonner à la peau sa clarté originelle.

L’IMPORTANCE DU TOUCHER, DU TEMPS, DU SOIN JUSTE

Il y a une tendance, presque instinctive, à vouloir en faire toujours plus quand la peau se manifeste. Multiplier les produits, les actifs, les étapes. Pourtant, l’été nous enseigne l’inverse : la peau réagit mieux à la mesure qu’à la surenchère. Ce dont elle a besoin dans cette saison d’abondance, ce n’est pas de complexité, mais de justesse.

Et cette justesse passe d’abord par le geste. Le toucher a une valeur immense dans le soin cutané, trop souvent relégué au rang de détail. En réalité, il est déjà, à lui seul, une forme de thérapie. Appliqué avec douceur, avec conscience, il active la microcirculation, favorise la pénétration des actifs, calme les terminaisons nerveuses de la peau. Il transforme l’application du soin en un moment de communication entre la main et l’épiderme.

En été, ce dialogue est encore plus nécessaire. La peau, sursollicitée par l’extérieur, a besoin de ressentir de l’intérieur une forme de bienveillance. On masse lentement, on effleure, on presse plutôt qu’on frotte. On évite les gestes mécaniques, les textures trop agressives, les cotons imbibés d’alcool. La cosmétique devient un rituel, non un traitement. Un moment de reconnexion, pas une opération d’effacement.

Le temps, lui aussi, est un ingrédient invisible du soin juste. On pense souvent aux actifs, à leur concentration, à la formulation. Mais ce qui fait la différence, c’est parfois le silence entre deux gestes, l’instant accordé à une crème pour fusionner avec la peau. L’efficacité ne tient pas toujours à l’intensité, mais à la régularité, à la constance, à cette fidélité discrète qu’on accorde à sa peau jour après jour.

Dans cette logique, les soins que l’on choisit doivent être en cohérence avec la saison et avec soi. Inutile de forcer une texture riche quand la peau étouffe, ou d’accumuler les couches quand elle réclame de la légèreté. L’été appelle une cosmétique intuitive, capable d’écouter autant que de traiter. Des formules qui respectent la respiration de la peau, sa capacité d’auto-régénération, et qui accompagnent plutôt qu’elles ne dirigent.

C’est là toute la beauté du soin juste : il ne cherche pas à transformer, mais à révéler. Il n’impose rien, il propose un environnement favorable. Il n’a pas besoin d’être spectaculaire pour être efficace. Et en cela, il s’inscrit parfaitement dans une nouvelle vision de la protection estivale : non plus une lutte contre les agressions, mais une harmonisation douce entre peau, climat et rythme de vie.

L’ÉLÉGANCE DU SOIN INVISIBLE : PROTÉGER EN BEAUTÉ

Il existe une forme de beauté dans le soin invisible. Celui que l’on ne voit pas, mais que la peau ressent. Celui qui n’étouffe pas l’épiderme sous une accumulation de couches, mais qui, au contraire, agit en silence, en soutien, en précision. C’est cette élégance du soin discret mais essentiel qui façonne les nouvelles routines d’été. Des routines moins démonstratives, plus sensées, où chaque formule a une raison d’être et chaque actif, un rôle ciblé.

Longtemps, on a cru qu’une protection efficace devait se voir : un écran solaire visible, un film occlusif pour « barrer » les agressions. Aujourd’hui, on comprend que la vraie protection cutanée se construit de l’intérieur. Par la qualité du film hydrolipidique, par l’équilibre du microbiome, par la capacité de la peau à neutraliser les radicaux libres ou à restaurer sa barrière après un stress thermique.

Dans cette optique, les soins enrichis en oligo-éléments trouvent toute leur légitimité. Car ils ne sont pas là pour maquiller un symptôme, mais pour renforcer les processus biologiques naturels : calmer une inflammation, stimuler une enzyme antioxydante, améliorer la rétention d’eau dans les cellules. Ils parlent le langage profond de la peau, celui de l’équilibre cellulaire et de la communication intercellulaire.

C’est la vision qui anime les formules IUM : proposer des soins bioactifs, dont les bénéfices se lisent dans le confort immédiat, mais surtout dans la résilience à long terme de la peau. Des soins comme des partenaires de peau, qui ne prennent pas le pouvoir, mais le rendent. Le magnésium pour apaiser, le zinc pour purifier, le potassium pour revitaliser… Chaque oligo-élément agit en synergie, dans une chorégraphie invisible mais efficace.

Et cette efficacité discrète a un autre avantage : elle libère la peau. Moins de dépendance aux effets cosmétiques immédiats, plus de stabilité dans l’éclat, la texture, la tonicité. La peau apprend à mieux se défendre, à mieux s’auto-réguler. Elle retrouve une beauté plus authentique, plus stable, plus sincère. Ce n’est pas un effet "wow", c’est un effet "vrai".

Ainsi, l’élégance du soin invisible s’impose comme une philosophie : ne pas surprotéger pour mieux accompagner. Ne pas surstimuler pour laisser la peau reprendre son souffle. C’est une approche du soin plus respectueuse, plus fine, qui redonne à la peau son autonomie, sa lumière, sa pleine expression. Une beauté d’été plus durable, moins fragile, plus harmonieuse.

L’APRÈS-SOLEIL, OU L’ART DE PROLONGER L’ÉCLAT SANS ABÎMER

Sérum Repulpant IUM Paris, flacon bleu, raffermissant, lissant et illuminant, lauréat du Grand Prix de la Marque Tendance Or 2023 par CosmétiqueMag, produit cosmétique bio naturel à 99%, enrichi en potassium et sodium.Lorsque le soleil se couche, une autre phase commence pour la peau. Loin de la lumière directe, des vents chauds et des bains de sel, elle entre dans une dynamique plus lente, plus profonde : celle de la régénération. C’est à ce moment-là que les signes de fatigue apparaissent, que les inconforts se révèlent, que les dégâts silencieux s’expriment. Et c’est aussi le moment le plus stratégique pour réparer, réconcilier, reconstituer.

On parle souvent d’après-soleil comme d’un soin spécifique à texture fraîche, presque accessoire. Mais l’après-soleil, au sens large, est un temps fondamental de réparation biologique. Pendant la nuit, les cellules cutanées s’activent pour reconstruire ce qui a été altéré dans la journée : les membranes abîmées, les protéines oxydées, les réserves en eau appauvries. Et sans un environnement propice, ce processus se ralentit, voire s’interrompt.

C’est pourquoi le soin du soir en été n’a rien de secondaire. Il ne doit pas être perçu comme une simple hydratation post-exposition, mais comme une réponse intelligente aux agressions accumulées. Il demande des textures capables de nourrir sans obstruer, de rafraîchir sans évaporer, de rééquilibrer sans perturber. Des formules qui, en plus d’apaiser, stimulent la réparation, soutiennent la production de collagène, et limitent l’apparition de taches pigmentaires ou de ridules accentuées.

C’est aussi là que certains actifs, présents dans les soins IUM, prennent tout leur sens. Le potassium, par exemple, que l’on retrouve dans le Sérum Repulpant, est connu pour son rôle dans l’hydratation cellulaire et l’activation des échanges ioniques essentiels à la vitalité cutanée. Associé au sodium et à un complexe végétal relipidant, il offre à la peau une véritable cure de revitalisation nocturne. Ce type de formule fluide mais intense, sans surcharge sensorielle, permet d’optimiser les mécanismes de réparation pendant que la peau dort.

Au-delà de la formule, c’est aussi le geste qui compte. Appliquer son soin le soir sur une peau fraîchement nettoyée, en pressions légères, dans une ambiance calme, revient à envoyer un signal au système nerveux cutané. Le stress diminue, la micro-inflammation régresse, la peau entre en régénération active. On ne parle plus ici de cosmétique au sens classique, mais de soin au sens profond — celui qui reconnecte la peau à ses cycles naturels.

Et si l’on souhaite prolonger l’éclat de l’été sans abîmer, c’est ici que tout se joue. Non pas dans la surprotection du jour, mais dans la qualité de la réparation nocturne. C’est le moment où l’on fixe le bronzage sans ternir le teint. Où l’on préserve la fermeté sans céder au dessèchement. Où l’on donne à la peau ce qu’elle n’a pas eu le temps de se redonner elle-même.

Car une peau protégée, ce n’est pas une peau sur-maquillée ni surfiltrée. C’est une peau écoutée, soutenue, apaisée. Une peau que l’on accompagne avec intelligence, en respectant ses rythmes, ses fragilités, ses ressources. Et c’est peut-être ça, au fond, la plus belle protection de l’été : savoir s’arrêter un instant, respirer, et offrir à sa peau le luxe discret d’un soin juste, à sa mesure.


LE SAVIEZ-VOUS ?

La peau possède sa propre horloge biologique : elle se défend naturellement contre les agressions en journée… mais ne se régénère qu’en profondeur la nuit. C’est entre 23h et 4h du matin que l’activité de renouvellement cellulaire est à son pic. Dormir suffisamment reste l’un des gestes les plus efficaces pour préserver la beauté de la peau en été.

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